La société minière SHODMA, implantée en Guinée et dirigée par une femme reconnue pour son engagement humanitaire, se distingue depuis plusieurs années par son soutien actif aux communautés démunies, notamment à Siguiri et Banankoro. À travers des dons réguliers de fournitures scolaires et sanitaires, l’entreprise contribue significativement à l’amélioration des conditions de vie dans ces régions reculées, gagnant ainsi l’estime et la reconnaissance des populations locales.
Toutefois, SHODMA traverse actuellement une période critique. Le non-renouvellement de son permis d’exploitation et la confiscation de ses diamants ont provoqué un arrêt brutal de ses activités, mettant en péril de nombreuses familles qui dépendent directement ou indirectement de l’entreprise. Cette décision suscite l’inquiétude des bénéficiaires de ses actions sociales, d’autant plus que l’entreprise affirme respecter scrupuleusement les lois en vigueur.
Face à cette situation, un appel est lancé aux autorités guinéennes, notamment au Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD), afin de réexaminer le dossier de SHODMA. Les défenseurs de l’entreprise soulignent l’importance de lui permettre de reprendre ses activités dans le cadre légal, afin de continuer à jouer son rôle social et économique, et de participer à un avenir plus solidaire et équitable pour la Guinée.
La situation de SHODMA illustre les enjeux complexes de la régulation minière en Guinée, entre respect des normes, développement économique et impératifs sociaux.