Dans un contexte socio-économique tendu, rares sont les entreprises qui allient performance économique et engagement humanitaire. La société minière SHODMA, dirigée par une femme visionnaire et profondément attachée aux valeurs de solidarité, s’est pourtant distinguée par son implication exemplaire dans le développement social de régions défavorisées telles que Siguiri et Banankoro.
À travers des dons réguliers de fournitures scolaires et sanitaires, SHODMA a œuvré pour améliorer les conditions de vie de milliers d’enfants et de familles vulnérables. L’engagement de sa PDG en faveur de l’éducation, de la santé, et de l’inclusion sociale en fait une figure respectée tant au sein des communautés locales que parmi les acteurs du développement.
Cependant, malgré ces actions louables, l’entreprise se trouve aujourd’hui dans une situation critique. Son permis d’exploitation n’a pas été renouvelé, et les diamants rapatriés en Guinée ont été confisqués, mettant en péril ses activités et les nombreuses familles qui en dépendent indirectement.
Cette décision soulève de nombreuses interrogations, d’autant plus que SHODMA s’est toujours conformée aux réglementations en vigueur tout en plaçant l’humain au cœur de sa mission. Les populations locales, qui ont bénéficié de l’action sociale de l’entreprise, expriment aujourd’hui leur incompréhension et leur désarroi.
Un appel solennel est lancé aux nouvelles autorités du CNRD : il est urgent de reconsidérer la situation de SHODMA et de permettre à cette entreprise à fort impact social de reprendre ses activités dans un cadre légal, transparent et équitable.
Redonner à SHODMA les moyens de poursuivre ses engagements humanitaires, c’est aussi faire le choix d’une Guinée plus forte, plus juste, et plus solidaire.
Tairé Balde pour opinion224 com 622242872